Embouteillé en 2013, l’Octomore 06.1 se targue de son taux de phénols atteignant les 167 PPM. Depuis sa création en 2008, la marque est devenue un véritable culte pour une frange particulière de connaisseurs inconditionnels de fumée.
Chaque
version sort en édition limitée. Ainsi, seulement
18.000 bouteilles de l’Octomore 06.1 ont été prévues pour le monde entier.
Le procédé de distillation de Bruichladdich, dans des alambics en forme d’oignon au fond très plat et au corps élancé, permet d’obtenir un spirit très fin et élégant, car les vapeurs d’alcool montent très lentement. Outre la tourbe très présente, le nectar développe toute une gamme d’arômes complexes très bien équilibrés.
La gamme de
prix se situe aux alentours des 140 euros (en novembre 2015).Le procédé de distillation de Bruichladdich, dans des alambics en forme d’oignon au fond très plat et au corps élancé, permet d’obtenir un spirit très fin et élégant, car les vapeurs d’alcool montent très lentement. Outre la tourbe très présente, le nectar développe toute une gamme d’arômes complexes très bien équilibrés.
La
dégustation
Robe :
Jaune maïsNez : Voici un whisky qui nécessite d’être aéré quelques minutes avant la dégustation, pour éviter une agression de fumée qui risque d’anesthésier les autres arômes. Une fois la tourbe atténuée, apparait le caractère iodé et maritime d’Islay, ainsi que des notes de bruyère et d’épices
Bouche :
grasse mais onctueuse, super puissante, avec des arômes de lard fumé, de fruits
frais et même de pain toasté. Notes salées et épicées très plaisantes.
Finale :
excessivement longue, asséchante, légèrement sucrée avec bien entendu une
persistance de fumée.
Oui, il s’agit
bien d’un whisky fumé, mais, malgré son jeune âge, la complexité des arômes en
fait un nectar très agréable à déguster.
Le tout est de bien choisir le moment.
Idéal accompagné de toasts au saumon fumé, écossais de préférence…
Pat –
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