Grâce à
Hunter Laing & Co, nous trouvons encore, dans le commerce, des petits
bijoux comme ce Bruichladdich de 12 ans.
Personnellement,
je trouve que le nectar a déjà atteint une bonne maturité à 12 ans et peut
donner beaucoup de plaisir aux dégustateurs.
Cela a été
mon cas, récemment, avec ce single cask (HL 12144), distillé en novembre 2003
et embouteillé en novembre 2015.
Il s’agit,
par définition, d’une édition strictement limitée à 284 bouteilles, sans doute
devenue introuvable depuis ma dégustation en février dernier.
Comme toute
la gamme Old Malt Cask de Hunter Laing, le nectar est embouteillé à 50% APV, n’est
ni filtré à froid, ni coloré artificiellement.
Le paradis, quoi…
Le nectar tire sa fumée du fût et non de la tourbe.
Dans le cas qui nous intéresse, le nectar a mûri exclusivement dans un ancien fût de bourbon, un « barrel », et pas un hogshead. Le « barrel» est, en fait, un ancien fût de bourbon de 200 litres environ, récupéré et réutilisé tel quel, tandis que le hogshead est un nouveau fût d’environ 250 litres, reconstitué à partir de douelles récupérées d’anciens fûts de bourbon.
Plus petite contenance = plus de contact avec le bois…
En février dernier, le Old Malt Cask Bruichladdich 12 YO 2003 était vendu pour un peu moins de €90.
La
dégustationLe nectar tire sa fumée du fût et non de la tourbe.
Dans le cas qui nous intéresse, le nectar a mûri exclusivement dans un ancien fût de bourbon, un « barrel », et pas un hogshead. Le « barrel» est, en fait, un ancien fût de bourbon de 200 litres environ, récupéré et réutilisé tel quel, tandis que le hogshead est un nouveau fût d’environ 250 litres, reconstitué à partir de douelles récupérées d’anciens fûts de bourbon.
Plus petite contenance = plus de contact avec le bois…
En février dernier, le Old Malt Cask Bruichladdich 12 YO 2003 était vendu pour un peu moins de €90.
Robe :
Or
Jaune (0.5)
Nez : Expressif,
aux notes de caramel au beurre. Arômes de fruits mûrs et de vanille, équilibrés
par une présence légèrement boisée et une fumée discrète
Bouche :
Douce et riche. Confirmation des fruits, plutôt du style agrume, et du caramel.
La fumée enrobe doucement les arômes vanillés, sans les étouffer.
Finale :
longue, fumée, aux notes de fruits secs.
Un nectar
digne de Bruichladdich, présentant de la fumée du début à la fin de la dégustation,
sans toutefois être âpre ou astreingeante, très bien équilibré avec les fruits
et la douceur du caramel et de la vanille. A boire avec modération,
accompagnant une bonne viande grillée au barbecue, par exemple.
Pat –
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