Rien à voir avec le standard 12 ans à 46% APV en embouteillage propre (voir mes notes ici), ce brut de fût éveille les papilles et nous prépare à la belle saison des barbecues qui commence.
La différence
de prix assez marquée par rapport à une version multi-fûts et ramené à 46% APV,
est justifiée par une qualité équivalente à un whisky haut de gamme.
Ainsi, pour
acquérir une bouteille de ce nectar, il a fallu débourser environ 110 euros, en
avril 2016, dans ma région.Pour les intéressés, notre partenaire « Aux Mille Saveurs » (Mons, Belgique) en a encore quelques unes en stock.
La
dégustation
Robe :
maïs
(0.4)
Nez : attaque
d’amblée de la fumée de tourbe, sans surprise. Les arômes de bacon fumé se
mélangent élégamment aux notes de vanille et de fruits. Le caractère maritime
fait son apparition avec un peu d’iode et de sel.
Bouche :
un peu piquante au début, la fumée s’estompe petit à petit, laissant derrière
elle une certaine astringence qui s’équilibre sur des notes plus douces de
fruits, de vanille et de cacao. La tendance
est plutôt médicinale, dans le pur style d’Islay.
Finale :
mi-longue et épicée, avec persistance de la fumée. Fraîche jusqu’au bout.
Les
amateurs de tourbe et de fumée y trouveront leur compte avec ce Caol Ila de 12
ans brut de fût, qui conserve son esprit marin tout au long de la dégustation.
Pat –
Whisky Explorer
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