Dans le cadre
de la campagne « The Wood Makes the Whisky », Gordon & MacPhail
propose un nectar d’une distillerie assez discrète, située au cœur du Speyside.
La Tormore Distillery produit la plus grosse partie de ses single malts pour alimenter les blends de Long John. De temps en temps, un embouteillage propre sort des cartons (actuellement disponibles, un 14 et un 16 ans), mais les rares single malts qui ont échappé aux blends sont le plus souvent récupérés par Gordon & MacPhail qui semble le seul embouteilleur à s’intéresser au nectar produit par cette distillerie.
Ayant une confiance aveugle en leur jugement pour le choix des fûts de qualité supérieure, je n’ai, une fois de plus, pas été déçu de ma dégustation.
Ainsi, ce superbe
single cask Tormore a été distillé en 1997 et embouteillé en mai 2014, après
une maturation exclusive en anciens fûts de bourbon, en premier remplissage,
pendant 17 ans. Le choix judicieux d’un taux d’alcool réduit à 46% APV le présente
à son avantage.La Tormore Distillery produit la plus grosse partie de ses single malts pour alimenter les blends de Long John. De temps en temps, un embouteillage propre sort des cartons (actuellement disponibles, un 14 et un 16 ans), mais les rares single malts qui ont échappé aux blends sont le plus souvent récupérés par Gordon & MacPhail qui semble le seul embouteilleur à s’intéresser au nectar produit par cette distillerie.
Ayant une confiance aveugle en leur jugement pour le choix des fûts de qualité supérieure, je n’ai, une fois de plus, pas été déçu de ma dégustation.
Le prix
variant entre 80 et 100 euros me semble justifié par l’âge et la rareté du
produit, autant que par ses qualités aromatiques.
La
dégustation
Robe : or clair (0.3)
Nez : la
vanille domine directement, agrémentée de notes de salade de fruits, de miel et
de bois de chêne.
Bouche :
douce et légère, le nez est confirmé par la vanille et le miel, et des arômes
fruités se précisent vers des agrumes, donnant une fraîcheur au nectar. Légèrement
sucrée et un peu épicée (cannelle et poivre) sur la fin.
Finale :
longue avec développement des épices et toujours aussi fruitée.
Un Speysider,
vrai de vrai, sélectionné avec soin et embouteillé à son âge idéal. Une fois de plus, nous devons admettre que c’est
bien le bois qui fait le whisky…
Pat – Whisky
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