Chez Deanston, le Virgin Oak fait partie de la gamme standard, au même titre que le 12 ans, avec une version embouteillée en 2010 et une autre en 2017, celle qui nous intéresse ici.
Dasn les deux cas, le single malt a d’abord été mis en maturation dans les traditionnels fûts de bourbon, pour être ensuite trasféré dans des fûts de chêne américains neufs venant du Kentucky, et normalement prévus pour la maturation du bourbon.
L’influence du bois neuf est incontestable et donne un profil assez atypique au whisky.
L’embouteillage est sans mention d’âge, sans filtration à froid ni coloration artificielle.
Lien whiskybase: https://www.whiskybase.com/whiskies/whisky/93475/deanston-virgin-oak
La dégustation
Robe : paille
claire
Nez : frais, avec des
arômes de vanille, d’agrumes, plus précisément du citron, de fruits du verger
et surtout du bois fraîchement coupé.
Bouche : les 46.3% APV ont
du mal à passer, mais, une fois retombés, se développent des notes d’agrumes
(cette fois, plus sur de l’orange amère), de vanille, de caramel, de miel, d’épices
douces, et de sciure de bois.
Finale : courte, chaleureuse
et épicée.
Assez
fan de Deanston, en général, je suis un peu déçu par le manque de longueur et
ce petit souci d’intégration de l’alcool.
Sinon, pour le reste, rien à redire.
Pat Whisky Explorer
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire