Avec
sa capacité de production approchant les 40 millions de litres d’alcool par an,
Invergordon fait partie des monstres de l’industrie du whisky.
Cette distillerie de grain la plus au nord de l’Ecosse envoie la majorité de sa production alimenter les blends de chez Whyte & Mackay, propriétaire des lieux.
A défaut d’embouteillages officiels (oui, bon, j’en ai trouvé un d’il y a une dizaine d’années), pas mal d’embouteilleurs indépendants proposent des séries intéressantes, comme ici, chez The Nectar, importateur belge, qui nous invite à déguster un 44 ans, distillé en 1973 et embouteillé en 2017. L’embouteilleur n’en est pas à son coup d’essai. L’année précédente, il proposait une version 43 ans de 1972 et, en 2017, une version 53 ans de 1964 a été également mise en vente.
L’étiquette ne mentionne pas qu’il s’agit d’un single cask (lu pourtant sur certains autres sites), si c’est du brut de fût, ni s’il s’agit d’une édition limitée avec un nombre défini de bouteilles. Peu importe, l’essentiel reste la dégustation en elle-même…
Lien Whiskybase :
https://www.whiskybase.com/whiskies/whisky/102021/invergordon-1973-dd
Cette distillerie de grain la plus au nord de l’Ecosse envoie la majorité de sa production alimenter les blends de chez Whyte & Mackay, propriétaire des lieux.
A défaut d’embouteillages officiels (oui, bon, j’en ai trouvé un d’il y a une dizaine d’années), pas mal d’embouteilleurs indépendants proposent des séries intéressantes, comme ici, chez The Nectar, importateur belge, qui nous invite à déguster un 44 ans, distillé en 1973 et embouteillé en 2017. L’embouteilleur n’en est pas à son coup d’essai. L’année précédente, il proposait une version 43 ans de 1972 et, en 2017, une version 53 ans de 1964 a été également mise en vente.
L’étiquette ne mentionne pas qu’il s’agit d’un single cask (lu pourtant sur certains autres sites), si c’est du brut de fût, ni s’il s’agit d’une édition limitée avec un nombre défini de bouteilles. Peu importe, l’essentiel reste la dégustation en elle-même…
La dégustation
Robe : or profind
Nez :
sans surprise au niveau des céréales, mais avec une belle tendance pâtissière
comme je les aime. Arômes de vanille et
d’épices (poivre), avec une touche florale.
Bouche :
élégante, délicate et très douce, confirmation des céréales sans toutefois
déterminer laquelle domine, notes de bois de chêne, de cannelle, de vanille et d’un peu d’encaustique. Les épices restent en retrait.
Finale :
mi-longue, un peu plus épicée sur la fin et retour des fleurs perçues au nez
mais pas trop marquées en bouche.
Un
très bon single grain, complet et agréable à boire, idéal accompagné de
chocolat noir.
Pat
Whisky Explorer
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